elle dit ces mots, que notre héros sauta sur la chose rouge et l'avala. Il rentra et croqua la vieille puis, le repas étant tellement copieux, il s'endormit pour digérer.
Quelques heures plus tard, le loup fut réveillé à cause de pas qu'il entendait venir dans sa direction. Il voulut s'enfuir mais son repas était trop lourd. Quand soudain ! Un homme mauvais et lâche, armé d'un fusil, s'approcha de lui et tira.
Un renard qui avait vu la scène courut prévenir les loups qui allèrent se battre. Ils tuèrent le chasseur et la fille et la mémé partirent en courant. Depuis ce jour, une loi s'impose chez les loups. Ne jamais attaquer des humains. (Ambre)
Il était une fois un grand loup intelligent, rusé et fort qui avait une louve et ses louveteaux. Comme chaque jour, il chassait et ramenait trois lapins. Ce jour-là, après manger, il partit se promener dans la forêt quand, tout à coup, une gamine vêtue de rouge arriva et le loup se demanda pourquoi elle portait du rouge. Puis commença un long discours. Le loup demanda : « Où vas-tu, et où habite la grand-mère, comment s'appelle-t-elle? » Peu après, le loup lui reprocha d'y aller sans bouquet, la jeune fille prise de honte commença un merveilleux bouquet. Le loup partit chez la grand-mère et, sans réfléchir, la goba puis mit ses vêtements. Peu après la petite fille arriva, le loup l'avala et s'endormit sur place. Un chasseur qui passait par là, découvrit le loup à cause de ses ronflements. Il trouva étrange qu'il n'y ait personne et se dit qu'ils étaient dans le ventre du loup. Le cruel chasseur ouvrit le ventre et y mit des cailloux. Tout à coup, le loup se ré

veilla et il mourut sur le coup. La morale de cette malheureuse histoire est qu'il ne faut jamais s'endormir chez un humain. (Aude)
Il était une fois un grand loup qui allait tous les jours à la chasse. Un jour les enfants eurent si faim qu'il alla chasser dans la forêt plus profonde où il trouva un pantin rouge.  C'était un humain! Il se dit:  «Quelle est stupide cette enfant d'avoir un habit rouge ! (On la voit de loin !) » Et il se rappela que son père lui avait dit: "Méfie-toi de cette enfant rouge, elle est très mignonne mais très CHIPIE!" Il se méfia et s'approcha: « Je vais l'avaler pour mes enfants.» Courageux il demanda: "Bonjour petite bête où vas-tu ? » Elle lui répondit: " Chez ma grand-mère ". «Regarde ces fleurs comme elles sont belles!» Notre héros profita de la naïveté de la fillette pour aller chez la grand-mère. Le malin l'avala toute crue en attendant le lutin rouge. Il mit ses habits et se coucha dans son lit. La fille entra dans la maison et lui posa un tas de questions stupides et pour finir, il l'avala! Un chasseur passant par là entendit le ronflement du loup endormi dans la maison mais le pire c'est que la bête n'avait pas l'habitude de ronfler. Le dangereux chasseur rentra et tua le dormeur. Puis il sortit le pantin rouge et la grand-mère du ventre du rêveur.
(Camille)
Il était une fois un loup qui vivait dans une tanière avec sa famille. Sa louve était de couleur noire et ses petits aussi. Le chasseur, ce jour là, pour faire plaisir à sa louve, alla chasser. Le rusé allait souvent chasser à un endroit précis, mais là il ne trouva pas de gibier alors il s'enfonça dans la sombre

lumière. De l'autre côte de la forêt, il vit un petit chemin. Ce chemin allait à un village. Sur ce chemin le grand loup aperçut un genre de tomate vivante, qui parlait, qui marchait ... Le courageux alla voir la chose et lui posa des questions. Le petit chaperon rouge répondit. Le rusé lui indiqua aussi que pour sa grand-mère ce serait gentil de lui offrir quelques pommes. Le petit chaperon rouge le remercia et alla chercher les pommes. Le grand loup en profita pour aller chez la grand-mère. L'œil malin, il toqua et entra si vite que la grand-mère n'eut même pas le temps de hurler et il l'avala toute fraîche. Il mit son bonnet et son manteau. Le petit chaperon rouge toqua et entra. La fillette lui posa 100 questions et à la fin de la centième question, il se jeta sur la fillette. Le rusé se dit: «Après avoir fait tant d'efforts, je mérite bien une sieste. » Énervé, le loup était tellement épuisé qu'il ronflait. Un chasseur laid passait dans les parages et il entendit les ronflements du loup, alors il s'approcha de ces z z z z z et vit dans la maison de la grand-mère, un gros loup! L'homme à fusil vit aussi que le ventre du loup bougeait. Alors le démon comprit tout de suite, il alla vite chercher une aiguille et du fils, ensuite il ouvrit le ventre du loup et en sortit le petit chaperon rouge et sa vieille mamie. Le chasseur alla vite chercher une lourde pierre et la mit dans son ventre. Le loup essaya de se relever mais il n'y arriva pas alors la belle bête mourut sur le coup sans souffrir. Mais l'esprit du loup croyait qu'il avait toujours la grand-mère et le chaperon rouge dans son ventre!
(Emeline)
Il était une fois un loup qui

Le grand loup
Il était une fois, un loup qui était brave et seul. Toute la tribu l'adorait même le mâle dominant. Mais un jour sombre arriva. Le chef de la tribu tomba gravement malade. Avant de mourir, il demanda au grand loup de diriger la meute. Le pauvre malade mourut dans d'atroces souffrances. Quelques jours plus tard, la famine était proche et chacun dut aller chasser en petit groupe. Mais le grand loup ne voulut pas d'équipe. Donc notre héros partit. Il marcha, marcha, et brusquement, il se retrouva nez à nez avec une petite chose rouge. Il s'approcha d'elle, lentement il savait que c'était très risqué, mais il avait élaboré une tactique. «Bonjour que fais-tu seule? demanda le brave sur un air doucereux. -J'apporte à manger pour ma grand-mère, car elle est malade, répondit-elle. -Veux-tu que je t'accompagne? -D'accord si tu insistes. » Et ils partirent ensemble. Tout à coup, la petite fille recula et commença à sentir et prononça :
« -Que tu sens mauvais alors ! Pars, avant que tu me donnes ta puanteur. » Il s'éloigna et la suivit. Tout à coup, il vit une maisonnette. La peste se posta devant la porte et cria: « -Bonjour grand-mère! Comment vas-tu aujourd'hui? -Pas trop bien. Viens, entre, ne reste pas dehors. » A peine avait-

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LES ZINZINS DE FONTVENELLE