Les félins et autres textes

Je m’ appelle CLARA, j’ ai les cheveux noirs, les yeux marron vert, des tache de rousseur et la peau blanche. Je suis Très Très Très grande ! Je m’ habille pas trop à la mode, parce que je n’aime pas trop. Je suis une grosse gourmande de chocolat et le coca.

J’adore ma famille et mes arrières grands-parents. Je voudrais avoir le don de parler au chats, parce que les chats sont mes animaux préférés, ils sont trop mignons.
Et être une sorcière pour jeter des sorts à ceux qui m’embêtent, mais au fond être gentille.

J’aimerais vivre au Canada pour voir la neige et tous ses paysages magnifiques. J’adore le bleu, parce que ça me fait penser au rêve, d’ailleurs mon nuage c’est que mon chéri m’aime. J’adore le théâtre.

J’adore mes meilleures amies comme Nono, Sasou, Momo, Mimi.
Elles sont gentilles et généreuses, en plus elles sont belles ! Et je sais que je peux avoir leur confiance ! Les garçons sont gentils mais très bêtes !

Mes qualités principales c’est d’être gentille et serviable et très sensible. Mon premier défaut c'est d’être bavarde. Je déteste les disputes, j’ai horreur des choux de Bruxelles. A la maison, je suis susceptible avec mon petit frère. Mais à l’ école je suis sérieuse et travailleuse.
Bref j’ ai une vie
simple
Aimer 
Il y a des mots qui font Aimer
Et se sont des mots courageux
Le mot gentil le mot intelligente
beauté et le mot pensée
Le mots aimer et le mot tristesse
Et certains noms de fleurs et 
certains noms d’amies
Le mot alliance et le mot mariage 
Et le mot souffrir et le mot sourire 
Et certain noms de femme d’enfant
Et certains noms de ville et d’amour.

 (Christelle) 

les chats

Malin, agréable, beau,
les félin, les dormeurs, les sauvages
tout ces mots mignons, la douceur
et les câlins nous l’appelons le chat
et la tendresse me fait rêver.
Tigrés, roux, noirs, marron, blancs, gris
ronronne ma belle que tu sois chat siamois,
chat tigré ou chat européen
tu restes mon petit câlin.

CLARA

La Sainte Baume

Nous sommes partis de l’école en car pour aller à la SAINTE BAUME.
Les CP nous ont accompagnés. D’abord nous avons traversé le champ, puis on a pris le chemin de droite qui conduit au sommet de la montagne.
Sur un panneau était écrit interdit aux chiens, ne pas crier, ne pas arracher des fleurs, ne pas jeter de déchets.
Il y a de belles feuilles, on en a ramassé.
On est monté jusqu’au sommet de la montagne.
Le paysage est magnifique, c’est là qu' on a mangé.
Quand nous sommes partis nous étions en trin de monter jusqu’à la Grotte.
Nous sommes rentrés dans l’église.
Après nous avons pris des photos.
Nous avons descendu la montagne jusqu’au bus.

Le fantôme de Canterville


La vengeance du drap blanc
En conséquence, il résolut de se venger et resta jusqu’ au jour, immobile, plongé dans une profonde méditation. Le matin M. Otis alla au marché il acheta des fruits et des légumes. Il rentra chez lui et soudain il vit plein de taches de sang et les deux jumeaux avait fait une blague et le fantôme apparut et M. Otis dit :
- Oh! Les monstres, vous n'êtes pas au lit à cette heure-ci ? demanda M. Otis.
- Non parce qu’on veut tuer le fantôme. Dirent les deux jumeaux.
- Mais non, allez vous coucher les enfants.
Alors le fantôme dit : je vais me venger « ahahahahahahahah ! »
Il alla d’abord dans le couloir, ensuite dans l’escalier et enfin dans chambre où il prit Virginia et alla dans sa pièce secrète.
Le lendemain Virginia se réveilla : 
- Où suis-je ? dit Virginia.
- Tu es dans mon piège j’ai voulu te prendre parce que je veux me venger, dit le fantôme. (Gayané)
Le fantôme de Canterville : le drap blanc
En conséquence, il résolut de se venger et resta jusqu’ au jour, immobile, plongé dans une profonde méditation. Le lendemain matin le fantôme mit au point son plan. Il avait décidé, que se serait contre les jumeaux, alors il attendit le soir quand les deux monstres sortiraient de leur chambre. 
- Je vais enfin pouvoir les attaquer, murmura le vieux. Il entra dans leur chambre et attendit. Enfin ils arrivèrent en robe de chambre. L’aristocrate attrapa les petits et les entraîna au loin.
- Ah! C’est pas marrant frérot, relâche moi, hurla l’un d’eux. 
- Mais ce n’est pas moi ! Imbécile, c’est plutôt toi qui devrait me lâcher.
Virginia sortit de son lit et fila dans la chambre des jumeaux sure de chez sure qu’il y avait un bruit. A peine y eut elle mis le pied qu’elle s’écria :
- Mes petits frères où êtes-vous ? Montrez-vous, s’il vous plaît sortez de votre cachette ! Après quelques moments de réflexion elle sanglota :
- ILS ONT DISPARU ! MAMAN ! PAPA ! AU SECOURS ! ! !
Elle voulut voir sa mère mais tout à coup, elle tomba dans un trou quelle n’avait pas vu à l’aller. Et s évanouit ! Elle se réveilla dans une pièce quelle n’avait encore jamais vue. Elle se releva et vit des taches de sang, elle les suivit tout en faisant attention de ne pas glisser, elle regarda autour d’elle en se demandant ce qu’elle faisait là. Craintive, elle poursuivit son chemin. Et vit ces deux petits frère à la GAME BOY elle s’écria :
- Mes petits vous êtes vivants !
- Dégage, on joue.
- Mais ... Tu ne me parles pas comme ça !
- Va te préparer pour ton mariage avec ton mari.
- Quel mari ?
- Le fantôme de Canterville bien sûr.
- Mais... Mais...
- Le mariage et prévu dans une semaine, il faut que tu sois BELLE. Mets une robe transparente ça va bien avec les fantômes, ricana l’un des deux frères.
Un silence se forma qui laissait entendre les chaînes grinçantes qui se rapprochaient d’eux de plus en plus.
- Je comprend bien que tu ne veux pas te marier avec moi, gronda une voix, mais si tu ne veux pas m’épouser un grand sort te sera jeté, alors réfléchis bien.
- Non, non, gémit Virginia.
- ABADABOOMFANTOMI, le fantôme surgit de derrière une porte en chantonnant la formule. Elle devint de plus en plus pâle et elle gémit :
- Je suis un, non je ne suis pas un, ce... ce n’est pas possible.
- Oh Virginia qu’est ce qu’il t’a fait ? S’écrièrent les petits d’une même voix grave et que diraient papa et maman s’il te voyait comme ça ?
Elle sanglota

Clara

 
ALBERTO ET ROSETTE

Première tentative : 
Le soir du 26 mars 19900
Le loup ALBERTO s'apprêta à entrer pour la 20 ème fois de l’année dans le poulailler pour voir sa chérie la poule ROSETTE. Il ouvrit la porte du poulailler et chercha sa poulette dans la paille, mais là à la place de ROSETTE il y avait le chien de la fermière. MOSET, le gros lourdaud de ferme, était là. Et comme tous les soirs, le musto lui donna un grand coup du pied et dit :
- Ne reviens plus à la ferme, tu as compris ! répéta le gros.
- Au SECOURS ! hurla le loup. Je l’aurai mon bébé, na !

Deuxième tentative :
Quelques jours plus tard, le maigrichon revint chargé d’une fusée pour aller tout droit à sa chérie sans que le chien ne le voie. Il l’attacha sur son dos et :
- 6.5.4.3.2. heu ?! commença ALBERTO et il se mit debout il avait oublié quelque chose.
Mais quoi ? PFFT !!!! La fusée décolla droit vers la lune.
- Ah, ah, ah, rit le gros toutou.
Le loup abandonna mais jura d'y arriver la prochaine fois.

Troisième tentative :
Le lendemain le courageux héros eut une idée. Sur la pointe des pieds, il entra dans le poulailler. Il courut près de 1 000 km à h, il prit la poule et courut sur la colline d'en face. Le coureur, épuisé et transpirant dit :
- Ouf, je suis épuisé.
- Oh, ALBERTO tu es mon héros!
Depuis ce jour il vécurent heureux et eurent beaucoup d’ enfants loup-poule et poule-loup.

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